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25 septembre 2012

Espérons qu'un jour viendra où l'homme aura acquis l'intelligence de l'animal...

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 Espérons qu’un jour viendra où l’Homme aura acquis l’intelligence de l’Animal…

 

 Cette photo incroyable marque la fin la carrière du matador Alvaro Munera de Torera. En plein combat, il s’est effondré de remords quand il s’est rendu compte qu’il incitait cette douce bête à se battre.

 A ce moment-là, il devint un farouche adversaire de la tauromachie. Le regard du taureau sur cette photo en dit long. Même péniblement blessé par les picadors, cet animal n’a pas attaqué le toréador.


 Alvaro Munera a déclaré :


 « Soudainement, j’ai regardé le taureau. Il avait cette innocence que tous les animaux ont dans leurs yeux et il m’a imploré du regard. Ce regard fut pour moi comme un cri pour la justice qui retenti au plus profond de moi. Ce ressenti déclencha en moi comme une prière, car si on avoue, souhaitons-le, nous seront pardonnés. J’eus l’impression d’être la pire merde sur la terre. […] Les Vaches sont parmi les plus douces créatures qui respirent; personne ne montre plus de tendresse passionnée à leur jeune lorsqu’ils sont privés d’eux. Bref, je n’ai pas honte de professer un amour profond pour ces paisibles créatures. »

 
 Voici un extrait d’interview où ce toréador explique comment il est devenu végétarien et militant contre la tauromachie :

 

« Et soudain le taureau m’a regardé, son regard qui reflétait l’innocence de tous les animaux me suppliait. C’était le combat contre l’injustice non explicable, l’ultime requête avant la cruauté inutile. Cette fois il m’a enseigné la pitié et j’eus l’impression d’être la pire ordure du monde. »

 

 http://www.terresderepos.tv/compassion-tauromachie/

 

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24 juin 2012

Fête Nationale du Québec

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Fête nationale du Québec

 Ne pas confondre avec la Fête de la Saint-Jean.

Fête nationale du Québec

Défilé de la Fête nationale du Québec, à Montréal.


Nom officiel

Fête nationale du Québec

Autre nom

La « Saint-Jean-Baptiste » ou plus succinctement la « Saint-Jean »

Observé par

Québécois
Diaspora québécoise

Type

Fête nationale

Date

24 juin

Célébrations

Défilésfeux de joiefeux d'artifice, concerts musicaux, flottage du drapeau, discours et chants patriotiques, concours, etc.

Lié à

Fête de la Saint-Jean

La fête nationale du Québec, traditionnellement appelée la Saint-Jean-Baptiste ou Saint-Jean, est la fête nationale des Québécois. En vertu de la Loi sur la fête nationale,1 le 24 juin est une journée fériée et chômée au Québec.

Cette date est d'abord celle de la fête religieuse célébrant Jean le Baptiste qui s'est plus tard imposée comme fête nationale des Canadiens français, qu'on appelait alors « canadiens », dans le premier tiers du XIXe siècle. Reconnue jour férié par la province de Québec dans les années 1920, le gouvernement souverainiste du Parti québécois l'a déclarée « fête nationale du Québec » en 1977. Certains voudraient que la reconnaissance de la Saint-Jean comme fête nationale efface le nom historique de la fête, sans doute à cause de son héritage catholique, mais les Québécois continuent communément de se souhaiter « bonne Saint-Jean ».

Depuis 1984, le Mouvement national des Québécoises et Québécois est officiellement responsable de la coordination des festivités qui se déroulent les 23 et 24 juin de chaque année.

 

Les origines :

Les origines des célébrations du 24 juin sont immémoriales. Chez les païens, le solstice d'été qui, selon le calendrier julien, tombait le 24 juin, était célébré par des feux de nuit (voir le Collier des Brísingar) symbolisant la puissance fertilisante du soleil, ces feux de joie demeurant encore aujourd'hui le symbole le plus ancien de la fête2 . En plus de son caractère de rite de passage saisonnier, la fête du solstice d’été marquait également un jalon dans le cycle de production agricole, alors que s’entamaient les grands travaux agricoles qui ne s’achèveraient qu’à la fin de l’été 3 Pour lutter contre le paganisme, les évêques implantent des sanctuaires de Saint Jean Baptiste dont la fête doit se substituer au culte des divinités barbares (par exemple Koupalo chez les Slaves) qui, avec les invasions successives des Saxons puis des Vikings, durera jusqu'à la fin de la dynastie des Carolingiens. Plus largement, la fête prit, au sein de la cosmogonie chrétienne, une importance non négligeable, marquant, à six mois exactement, le pendant de la naissance du Christ célébrée par la fête de Noël qui symbolise elle-même, avec le solstice d’hiver (le jour le plus court de l’année), le début du triomphe de la lumière sur les ténèbres.

Ainsi, l'un des sanctuaires les plus caractéristiques concernant cette lutte d'influence est celui de Saint Jean Baptiste d'Audresselles, en France, à quinze milles de l'Angleterre. Ce sanctuaire surélevé, d'où l'on voit le soleil se coucher dans la mer, est entouré par ceux des dieux germaniques dont les villages entourant Audresselles portent toujours le nom: Audinghen (Odin, Wotan ou Wedne), Raventhun (le corbeau accompagnait Odin), Ambleteuse, auparavant Amel Thuys (dieu Thuys ou Tues), Tardinghen (dieu Thar, Thor ou Thurst), Loquinghen (dieu Loki), Bazinghen(déesse Basine) etc.

Encore aujourd'hui, c'est à Saint-Jean-Baptiste-d'Audresselles que se réunissent tous les catholiques de la région pour les grandes fêtes religieuses. Parmi eux se trouvent des familles d'Acadiens revenus dans le Boulonnais après la perte du Canada par la France.

Officielle sous l'Ancien Régime, la fête de la Saint-Jean Baptiste reste une fête très populaire dans les zones catholiques de la France actuelle.

La fête débarque en Amérique avec les premiers colons français. Les premières célébrations de cette fête chrétienne en Nouvelle-France auraient eu lieu dès 1606, des colons français se dirigeant vers ce qui deviendrait l'Acadie faisant escale à Terre-Neuve et célébrant, le 24 juin, la Saint-Jean Baptiste sur les côtes. Une seconde mention de la fête remonte à 1636 selon les Relations des Jésuites. qui relatent les célébrations prenant place à Québec et commandées par le gouverneur Montmagny..

 

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27 mai 2012

La Pentecôte

La fête de la Pentecôte fête la venue de l'Esprit Saint sur les apôtres le cinquantième jour après Pâques (pentêkostê signifie "cinquantième" en grec).
Cinquante jours après sa Résurrection, à la Pentecôte, Jésus Christ a répandu l'Esprit.

Cette fête est considérée comme la véritable naissance de l'Eglise. Les apôtres, ayant reçu la force de l'Esprit Saint (troisième personne de la Trinité: Père, Fils, Saint Esprit), ont eu le courage de sortir de la salle du Cénacle où ils se trouvaient et ont aussitôt commencé à faire connaître l'enseignement reçu du Christ, à enseigner et à baptiser.

Le texte des Actes des Apôtres3 précise qu'environ trois mille personnes furent baptisés ce jour là: la Pentecôte est vraiment à l'origine de la première communauté chrétienne.

24 avril 2012

LA CHOUETTE

 

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*La Chouette**

Oiseau nocturne de la famille des rapaces, la chouette est un animal nocturne, qui excelle dans le domaine de la chasse, grâce à une ouïe particulièrement développée. Elle se distingue pourtant de son cousin le hibou par son absence d’oreilles. Sa tête peut pivoter à 270°. Il existe plus de 200 espèces de ce petit mammifère, comme la chouette hulotte et la chouette effraie, les européennes, mais aussi la chouette pêcheuse de Pel, qui vit en Afrique, ou la chouette Lapone, qui vit en Amérique du Nord. La plupart de ces espèces sont désormais protégées. Pourtant, il n’en a pas toujours été ainsi. Il existe une mythologie très importante autour de la chouette, qui remonte à l’antiquité. Liée la déesse Athena, elle symbolise la sagesse. Puis au Moyen-âge, la pauvre bête est clouée sur les portes pour contrer le mauvais œil. Animal de nuit, volant en silence et poussant parfois de cris effrayant, la légende fait d’elle l’amie des sorciers. Sa vision particulièrement développée la nuit lui confère aussi une réputation de sagacité qui a fait d’elle le symbole de la brigade de renseignement de l’armée Française

30 mars 2012

Pâques

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Les traditions de Pâques ne sont pas toutes identiques dans le monde et en Europe. Généralement les œufs sont apportés par l'un des symboles de Pâques : lapin, lièvre, poule, cloche ... mais pas toujours comme en Angleterre.

De même, les traditions varient de région en région, les illustrations qui suivent ne vous sont données qu'à titre d'illustration de ce qui peut se faire dans le monde. Depuis ces dernières années les traditions régionales ou classiques tendent à disparaître au profit des traditions familiales.

En France la tradition veut que les cloches sonnent chaque jour de l'année pour inviter les fidèles à assister à la messe.

Sauf au moment de Pâques, où elles sont silencieuses du Jeudi au Samedi saint. Elles en profitent pour partir à Rome se faire bénir et elles rapportent des œufs de toutes sortes aux enfants sages !

En traversant la France elles perdent œufs, poules, poussins et lapins en chocolat à la plus grande joie des enfants qui dès midi passé partent à la chasse aux œufs !

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30 mars 2012

LE DIMANCHE DES RAMEAUX

Dimanche des Rameaux

Le dimanche des Rameaux célèbre le dimanche qui précède Pâques.

Ce dimanche commémore à la fois deux événements. Il correspond, d'une part, à l'entrée solennelle de Jésus à Jérusalem où il fut acclamé par une foule agitant des palmes. D'autre part, ce dimanche commémore la Passion du Christ et sa mort sur la croix. Ce dimanche des Rameaux, dont le nom liturgique est « Dimanche des Rameaux et de la Passion » (dans la forme ordinaire du rite romain depuis les réformes qui ont suivi le concile Vatican II ; avant cette réforme et dans la forme extraordinaire de la messe il s'appelle « Deuxième dimanche de la Passion ou dimanche des Rameaux », le premier dimanche de la Passion étant le dimanche précédent et ces deux dimanches formant le « Temps de la Passion », inclus dans le Carême), est le début de la « Semaine sainte ». L'expression « Pâques fleuries » a souvent désigné ce jour de manière poétique[1]. Il est aussi connu sous le nom de dimanche des palmes dans le sud de la France.

 

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8 mars 2012

LES LOUPS

Victime de sa légende, la cause du déclin. Au Moyen Âge, l'imagination populaire fait du loup une bête féroce et sanguinaire ; le loup devient le bouc émissaire de toutes les peurs inexpliquées. Cause de tous les malheurs, il fallait l'exterminer. Son déclin est dû à la persécution humaine et à la limitation de son territoire (la déforestation entre autre). Il a aussi été pourchassé pour sa fourrure et sa capture était largement favorisée par un système de prime. Cela permettait aux paysans des rentrées d'argent supplémentaires. Autrefois, pour connaître le nombre des caribous et savoir si la chasse serait bonne, les Esquimaux d'Amérique écoutaient hurler les loups. En Europe alors, ces mêmes hurlements étaient synonymes de danger et inspiraient la peur. Depuis les temps les plus anciens, l'homme s'est toujours opposé au loup. Hormis certaines nations amérindiennes qui vouaient beaucoup d'admiration au loup, allant même jusqu'à le considérer parfois comme un "frère sauvage" ,l'homme s'est toujours, jusqu'à tout récemment, acharné à vouloir le détruire. Il est encore, de toute évidence, l'animal le plus controversé de toute l'Amérique du Nord. Apparu il y a environ 2 millions d'années, d'abord sur le continent américain et en Eurasie, le loup c'st répandu dans toute l'hémisphère Nord. Seul le désert et la forêt tropicale ont arrêtée son expansion vers le sud. Peu de régions sont restés hors de sa portée exceptée les sommets les plus hauts ou le climat est trop ingrat. Cette prodigieuse capacité d'adaptation en a fait l'unique être vivant directement concurrent de l'homme. Il y a encore une centaines d'années, le loup était le mammifère le plus répandu qu'on ai jamais connu au cours de l'histoire. Mais victimes des persécutions qui lui étaient infligées par l'homme depuis des siècles, repoussé par l'extension des pâturages et des viles, cet animal prudent et timide 'est replié vers des régions plus hostiles, vides d'hommes. Systématiquement pourchassé depuis le moyen âge , le loup joue un rôle indispensable dans la nature. Il est donc urgent de renoncer à nos frayeurs ataviques et de vivre en harmonie avec eux . son avenir repose désormais, entre les mains de l'homme, qui doit sauver les animaux qui subsistent encore en leur préservant des territoires adéquat et en comprenant leur rôle indispensable dans l'équilibre général de la nature . LES LOUPS CHASSENT LE NEZ AU VENT Le loup possède une ouïe et un odorat très sensible, qu'il utilise couramment quand il chasse. Sa vision saisit mieux les sujets en mouvement que les formes immobiles, elle le conduit parfois à prendre l'homme pour une proie, jusqu'au moment ou l'animal où l'animal reconnaît l'odeur humaine et s'enfuie, très effrayé. Un loup chasse quand il à faim, seul ou en meute, selon la saison et la taille de sa proie. quand la nourriture est abondante, le loup mange beaucoup et digère vite. prudent il constitue souvent des réserves , qu'ils enterre. il se montre très frugal pendant les périodes de pénuries : il est capable de jeûner pendant une dizaine de jours sans problèmes . Durant l'hiver les loups se nourrissent d'ongulés souvent plus grand qu'eux original : élan caribou, chevreuil , etc etc ...qu'ils attaquent en meute . Ils ne chassent pas comme les chiens, la truffe collée au sol, mais les oreilles dressées et le nez au vent, attentifs aux effluves et aux bruit d'une bise qu'une brise peu leurs apporter. Grace à une étude du D. MECH, dans l'Isle Royal , au Canada, ont sait qu'un loup perçoit l'odeur d'un original à 300 m environ. il s'immobilise et ça truffe pointée dans la direction de sa proie. À ce signe tous les autres lèvent la tête pour analyser l'odeur. Chacun, alors, remue la queue et fait des bonds. Puis, gardant le silence malgré leur excitation, ils s'approchent le plus possible, contre le vent. L'hiver est l'époque de la chasse aux grands herbivores. Les loups se rassemblent en grand nombre. Cette meute importante s'est réunie, attendant que le leader sonne le signe du départ en chasse. Quand les décisions de celui ci sont unanimement approuvées, la harde est calme et disciplinée. Le loup ne chasse pas les proies les plus belles, mais choisit délibérément les faibles et les malades, qu'il contribue à éliminer. À chaque proie, sa technique. Selon l’adversaire et l’endroit où ils donnent l’assaut, les loups attaquent différemment. Ils ne gaspillent jamais leur énergie à poursuivre longtemps une proie qui s’enfuit. Ils repèrent vite les animaux jeunes, âgés, blessés ou malades, ils les encerclent et les attaquent. Orignal ou cerf sont capables de fracasser le crâne de leurs assaillants, un bison d’en encorner plusieurs. Les bœufs musqués se défendent collectivement, en formant un cercle, épaule contre épaule et cornes basses. Devant une résistance opiniâtre, la meute préfère rompre l’engagement et partir en quête d’un adversaire moins coriace - ce qui est très fréquent. La proie est rarement mise à mort du premier coup. Les loups cherchent à mordre les pattes, l’épaule, les flancs ou la croupe. Il faut parfois plusieurs assauts et de nombreuses poursuites pour faire tomber la proie. Un loup se pend à son mufle pour la paralyser pendant que d’autres s’accrochent à sa croupe. Étourdie par ses assaillants, attaquée de toutes parts, elle finit par succomber. La majeure partie de l’animal tué est dévorée sur place - un loup mange de 9 à 10 kg de chair par repas. Lors de la durée, le mâle dominant écarte ses subalternes avec autorité. Il tolère que sa compagne le rejoigne, puis, repu, il laisse les restes aux autres loups. Dans la mêlée, chacun s’efforce de prélever sa part. Il arrive que les loups soient rassasiés avant d’avoir tout dévoré. Ils enterrent alors les restes à l’abri des mouches, des corbeaux et des pies. Ces réserves de viande font la joie des renards et autres petits carnivores. Importance de l'hiérarchie. La harde obéit à une hiérarchie stricte et durable : la position de chacun ne peut être remise en cause qu'à travers des événements tel qu'un décès ou la formation d'une nouvelle meute. Le respect de cette hiérarchie et, donc, la cohésion du groupe reposent sur des modes de communication olfactifs, sonores et visuel. Ainsi, les loups ont tout un code d'attitudes, de postures et de mimiques. Pour se reconnaître, les loups se reniflent la tête et l'arrière-train, mais soutenir le regard est un signe de provocation. L'organisation d'une meute est la forme de société la plus hautement développée du monde animal. Lorsque deux loups se rencontrent, le dominant adopte une attitude agressive ; il reste immobile, oreilles dressées, crinière hérissée, queue levée, pattes droites. L'animal de rang inférieur avance, oreilles baissées et queue entre les pattes. Puis il s'accroupit et lèche le museau de son congénère en signe de soumission. Si l'autre animal reste en posture de domination queue et oreilles dressées, corps raide, le loup dominé se couche sur le dos, urine et présente ses organes génitaux. Les loups hurlent en meute. Le hurlement est très communicatif : quand un loup hurle, toute la harde se joint à lui et forme un choeur y compris les louveteaux. Les premières études de J.B. Théberge et J. B. Falls (1967) ont révélé que le loup a cinq façons de donner de la voix. La plus caractéristique, le hurlement, s'entend à plus de 8 kilomètres. Les loups ne hurlent que sporadiquement (toutes les dix heures, d'après le zoologue américain Fred Harrington), en général avant ou après la chasse. La meute signale ainsi sa présence aux hardes voisines. Mais elle peut aussi hurler sans raison apparente, pour le plaisir. Le loup aboie (alerte), jappe (amitié), gronde (désaccord et mise en garde), gémit (soumission ou amitié). Chaque individu a son timbre de voix, qui est toujours parfaitement reconnaissable. Un odorat évolué : Renifler un cerf à 1,5 km de distance, reconnaître à l'urine qu'il a laissée si un loup appartient à la meute ou si c'est un intrus, repérer les femelles en chaleur. Le loup vit dans un monde d'odeur et son "nez" est son plus précieux atout. Il est, suivant ce qu'il sent, de cent à un million de fois plus sensible que le nôtre ! La raison d'une telle différence ? Le tissu qui tapisse le haut de la cavité nasale et qui capte les molécules odorantes qui traînent dans l'air. Celui du loup est plus grand (170 cm carré chez l'homme) et cent fois mieux équipé en récepteurs. Des oreilles orientables : Le loup n'a pas les oreilles dans sa poche. loin de là ! il peut reconnaître le hurlement d'un congénère à 16 km de distance si le terrain est dégagé. Ses oreilles sont très mobile. Il les oriente pour mieux cibler l'origine des bruit. Il perçoit une gamme de sons plus large que la nôtre : alors que nous sommes limités à des fréquence comprise entre 16 et 20 000 Hz , lui entend des fréquences beaucoup plus aiguës, allant jusqu'a 40 000 Hz , dont les fameux ultrasons. Une vue spécialisée : Il voit mal les détails, a du mal à évaluer les distances et les reliefs. Côté couleur, il ne perçoit pas le rouge, mais que la teinte bleu-vert. Le loup serait-il miro ? Non, sa vision est celle d'un prédateur. Il est champion pour détecter les objets ou les proies en mouvement. Et, contrairement à nous, il ne devient pas aveugle sitôt la nuit tombée, car sa rétine contient davantage de cellules sensibles à la lumière. En plus, le fond de son œil est tapissé d'une couche de cellules réfléchissantes qui jouent les amplificateurs de lumière. C'est ce qui permet au loup, comme au chat, de distinguer un objet même dans la pénombre. Et qui fait que ses yeux brillent dans la nuit quand ils sont éclairés Une mâchoire à tout casser : Rien ne résiste à la mâchoire du loup, pas même un fémur de bison ! Avec ses muscles robustes, la mâchoire du prédateur a deux fois plus de force que celle d'un chien de même taille. Et puis, quelle dentition ; Sur le devant, de petites incisives acérées pour saisir les aliments ou dépecer les proies. Autour, quatre crocs impressionnants, longs de 3 cm. Idéal maintenir une proie. Derrière les crocs, les prémolaires et les molaires. Parmi elles, quatre plus grosses que les autres : Les carnassières. Elles sont à la fois tranchantes et puissantes, de vraies cisailles pour couper muscles, chairs et tendons. Des pattes de coureur : Marathonien et sprinter à la fois ! Avec ses pattes hautes et musclées, le loup trotte sans peine à 30 km/h. Mais il peut aussi, sur de courtes distances, cavaler à 65 km/h. Pour trouver quelque chose à se mettre sous les crocs, on en a vu parcourir jusqu'à une centaine de kilomètres en 24 heures. Comme les félins et les autres canidés, le loup ne pose pas la plante des pieds au sol, mais juste les orteils équipés de griffes qui, contrairement à celles des félins, sont sorties en permanence. Ce ne sont pas des armes, mais des outils pour creuser des tanières ou enterrer les surplus de nourriture. Une fourrure double épaisseur : Près du corps, une couche de poils courts, fins, ondulés, qui forment un vrai duvet isolant. Le tout recouvert de poils raides et longs qui, en hiver, dépassent les 15 cm sur le dos. Le loup est bien habillé ! Question coloris, il existe des noirs, des blancs et surtout beaucoup de gris. Mais pas un gris uni comme un éléphant : La couleur de la fourrure résulte toujours d'un mélange de poils noirs, blancs, crème, fauves, cannelle... Du coup, il n'y a pas deux loups qui possèdent la même robe.

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