Partout dans le monde, le vendredi 13 fait peur.

Certaines personnes sont même atteintes d’une maladie qui s’appelle Paraskevidékatriaphobi.

Certaines autres personnes ont “juste” peur du nombre 13, cette maladie s’appelle la triskaidekaphobie

Les vendredi 13 dans le calendrier grégorien Il faut savoir que chaque année (bisextile ou non) comporte forcément 1 vendredi 13.

Il peut y en avoir jusque 3 au maximum.

Pour atteindre ce chiffre maximum de 3 vendredi 13 dans la même année, il faut que le 1er jour de l’année (1er janvier) soit un jeudi pour une année normale (non bisextile), ou un dimanche pour une année bisextile.

Pourquoi le vendredi 13 porte malheur ?

Plusieurs origines possibles :

Dans la religion chrétienne, le soir de la Cène (mot latin cena qui signifie “diner”, désignant le dernier repas du Christ), Jésus et ses apôtres étaient treize à table.

Ce soir-là, le treizième convive à s’assoir à table est Judas.

Judas est connu pour avoir trahit Jésus qui fut arrêté par les Romains. Le lendemain, un vendredi (le “Vendredi saint”), Jésus fut jugé et crucifié.

Le vendredi 13 octobre 1307. Ce jour-là, tous les templiers de France sont arrêtés, sur ordre de Philippe le Bel.

Le jour de son exécution, le grand maître Jacques de Molay aurait proféré sur le bucher : “vous serez tous maudits, jusqu’à la treizième génération”. Une succession de malheurs s’abattit ensuite sur la famille royale.

L’origine de la superstition du vendredi pourrait aussi venir d’une légende nordiqu.e

Frigga, déesse de l’amour et de la fertilité s’appelait aussi Vendredi. Lorsque les tribus nordiques et germaniques se convertissent au Christianisme, Frigga est bannie, envoyée au sommet d’une montagne et considérée comme une sorcière.

Dès lors, chaque vendredi, la déesse convoquerait onze sorcières et le diable (avec elle, cela fait 13) pour comploter de mauvais tours à jouer au cours de la semaine suivante.

Vendredi 13 dans d’autres pays En Espagne en Grèce et en Amérique latine, c’est le mardi 13 qui est jour de malchance.

Chez les Italiens, c’est 17 qui est le nombre malchanceux et non 13. Des millions d’Asiatiques ont peur du chiffre 4 .

En effet, la prononciation de ce chiffre est identique à celle du mot “mort” en mandarin, en cantonais, mais aussi en japonais.

Je voudrais arrêter le temps

Je voudrais arrêter le temps

Ne  serait-ce que pour un instant

Empêcher la terre de tourner

Que mes larmes cesse de couler

Je voudrais  qu'on puisse m'écouter

Tout ces mots qui me font souffrir

Qui ne me laissent pas un sourire

Que les vagues de ma tristesse

Je voudrais partir loin d'ici

Et que mon cœur  oublie

Les blessures faites par la haine

Cicatrice qui seront toujours

Me projeter dans l'avenir

Et n'emporter aucun souvenir

De ce  passé