Verrines de Noel

Faire une mousse au chèvre avec de crème de soja, citron et de la ciboulette. Disposer saumon,

mousse, pommes, œufs et refaire une couche !!!

Ingrédients

Pour 5 verrines

4 tranches de saumon fumé

2 càs de chèvre frais

2 càs de crème de soja

Ciboulette fraiche

1/2 pomme granny smith

Préparation

1  Dans un saladier mettre le chèvre et émiettez le à l'aide d'une fourchette, ajouter la ciboulette ciselé, la crème et mélanger le tout.

2  Dans chaque verrine mettre dans le fond du verre le saumon fumé coupé en morceaux puis une couche de la mousse de crème, suivi des œufs de lump puis des morceaux de pommes. Et une nouvelle fois du saumon et pour finir de la mousse de crème.

3  Pour décorer ajouter un peu d'œufs de lump !!!

Devinez qui est le Père Noêl ?   lol

Quand la musique nous parle…
Les frissons perlent nos bras
Les larmes coulent d’émotion

La musique, 
Rassemble les gens
Leur donne du baume au cœur
Marque leur visage de bonheur

La musique, 
Nous élève dans les airs
Nous dirige
Vers un autre univers

La musique,
Est passion
On se doit de la partager
Si vous l’aimez comme je l’aime 

Laissez-vous emporter
Au son des violons , du piano, du saxophone
Vous ne résisterez pas à suffoquer
Le souffle coupé, vous aurez

Emu vous serez !

L’amitié c’est la banque de toutes les tendresses,
C’est une arme pour tous les combats,
Ça réchauffe et ça donne du courage,
Et ça n’a qu’un slogan : On partage.

L’amitié est comme une fleur,
Il faut en prendre soin.
L’amitié a une clé de chaque place,
A toi de la trouver,
Certaines sont cassables……
Mais une amitié fidèle ne peut pas se briser.

L’amitié c’est une écoute quand le cœur est en déroute,
Qui jamais ne se permet de juger, ni de peiner,
Elle peut tout partager de nos joies, de nos secrets,
Que ce soit la nuit, le jour elle vole à notre secours,
Forte comme l’océan,
L’amitié c’est de l’or que l’on garde comme un trésor.

Rêve d'un jour !

J'avançais dans un champs fleurie, mes mains effleuraient  les fleurs ,

au passage de celle-ci,

une bise légère glissait sur mon visage, douce comme du coton,

je sentais en marchant la chaleur du soleil sur mes joues rosées par lui,

le calme, moi et  la nature,

je continuais de marcher, doucement , paisiblement,

je regardait ça et là , les merveilles  qui m'entouraient ,

 je respirais ces odeurs subtiles,

tout à coup un papillon vint se déposer sur la pétale d'un coquelicot,

Jaune était ça couleur avec des grandes tâches noires ,

ont avaient l'impression qu'il me regardait avec de grand yeux étonnés,

puis il repartit léger avec la  bise,

un court instant je m'arrêtais , les yeux levés vers le ciel, une  merveille  !

un petit bruit me fît sursauter, je cherchais d'où ce bruit pouvait venir ?

je mettais arrêtais prêt d'un arbre où habitait surement un écureuil,

il était majestueux avec sa couleur rousse, il me vît et d'un bond,

 il couru de branche en branche

 pour allez se cacher à l'abri au cœur de l'arbre,  cela me fît sourire,

puis à mon tour ,  je me mis à courir,  je me mis à tourner  , à chanter,  je pensais,

                                                        "Oh que la vie est belle "

Sans m'en rendre compte les heures s'écoulaient et le soleil commençait à tomber,

 avec des couleurs multiples qui dessinaient dans le fond du ciel

une gigantesque toile artistique,

je me sentis lasse,  j'étais bien là !

alors pourquoi pas dormir dans ce champs ?

je m'allongeais et mes yeux se mirent à fixés les étoiles qui brillaient de mille feux,

elles donnaient l'impression de danser,

la lune arriva doucement  et moi je m'endormie la tête remplie d'étoiles,

 minouchapassion (16 /11/2012)

La force du temps et de l'amour

Le temps, maître de tout, ternit ce paysage,
Que Flore embellissait des marques de ses pas ;
Et montrant des défauts, où l'on vit des appas,
Il fait un triste lieu de ce plaisant bocage.

Il réduit une ville en un désert sauvage,
Il met comme il lui plaît les empires à bas ;
Il change les esprits ainsi que les États,
Et fait un furieux du peuple le plus sage.

Il étouffe la gloire, il éteint le renom,
Il plonge dans l'oubli le plus illustre nom,
Il comble de malheurs la plus heureuse vie ;

Il détruit la nature, il éclipse le jour ;
Bref, il peut effacer les beautés de Sylvie,
Mais il ne peut jamais effacer mon amour.

Guillaume COLLETET (1598-1659)